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dimanche 14 décembre 2008

Fable inventée par Paul et Pierre S.

La tortue, la louve et le cheval

Une tortue était amoureuse d'un merveilleux cheval.
Un jour, une belle louve vit ce beau cheval dans un pré, elle le contempla un long moment et devint folle amoureuse de lui. Le cheval qui avait vu les deux prétendantes tourner autour de lui, préférait la tortue à la louve. Les autres chevaux lui dirent que la louve était plus belle et qu'il fallait aller vers elle. Le cheval dit : "Chacun a ses goûts, je préfère la tortue car elle a l'air gentille."
Pendant la nuit, le cheval se demanda qui il devait choisir entre la louve et la tortue.
Le lendemain matin, il avait son choix. Il préférait la tortue à la louve qui avait l'air méchante. Cette dernière mécontente rentra chez elle. Et, le cheval et la tortue se marièrent dans la plus grande discrétion.

Moralité : Suivre son instinct vaut mieux que d'écouter les autres.
Pierre S. et Paul

Fable inventée par Maëva et Marion

Le chat et le chien.

Un jour, un beau chien qui vivait dans une riche famille, rencontra un chat errant. Il lui dit: « Sors-toi de mon chemin, je ne veux pas que tu me donnes des microbes ! » Le chat, en colère, lui répondit : « Je sais que tu es né dans une famille aisée, mais, ce n’est pas une raison pour me traiter ainsi moi, qui ne mange pas tous les jours ! Toi, tu as une famille et des enfants qui jouent avec toi, alors que moi, je n’ai personne ! » Le chien partit sans rien dire.
2 heures plus tard, il revint voir le chat. Il lui dit : « je suis désolé de t’avoir traité ainsi ! » Le chat accepta les excuses du chien. Et celui-ci, pour se faire pardonner, donna au félin de l’argent, exactement 15€45c !

Moralité : L’ARGENT NE FAIT PAS LA MECHANCETE !
Marion et Maëva.

mardi 9 décembre 2008

Fable inventée par Hugo

Le singe, le perroquet et son fils

Dans un bar louche et malfamé, un perroquet jouait au poker. Il misait beaucoup trop. Un singe malicieux voulut le défier pour le plumer : «Je parie tout mon argent, jusqu’au dernier centime que je te bats!» Le perroquet accepta tête baissée le défi. Ils se mirent à jouer passionnément. Une heure plus tard, le volatile était ruiné et dit très énervé : « Je parie sur la tête de mon fils que je regagne tout!!»
Ils se remirent à jouer, encore plus captivés, mais l’oiseau fut encore vaincu. Alors, le perroquet encore confus, vit son fils se faire trancher tête.

Moralité : Il ne faut jamais jouer avec la vie d’une personne.
De Hugo

Fable inventée par Steven et Alexandre

Le lion et les Gazelles

En Afrique, il y avait un lion très fort qui se croyait intelligent. Ce lion voulait chasser car il avait très faim. Il s’approcha d’un groupe de gazelles et dit:
─ Je suis le roi des animaux, je suis beaucoup plus puissant que vous et je vais vous dévorer !
─ Ah ah ah ! Tu es plus puissant que nous, mais nous sommes plus intelligentes que toi», répondirent les gazelles.
Alors, le fauve se mit à les poursuivre mais celles-ci l’entraînèrent dans un piège qu’avaient installé des chasseurs.

Moralité : La force ne fait pas l’intelligence.

Steven et Alex

Fable inventée par Sevgi et Mélanie

Le corbeau, le chien et le chat.

Un dimanche soir, un chat tomba malade. Il avait les oreillons. Le chat alla s’asseoir sur une marche près d’une ferme. La fermière accueillit le chat chez elle. Elle avait un chien qui lui aussi avait les oreillons.
Le lendemain matin, les deux animaux sortirent de la ferme.
Un corbeau alla se mettre sur la branche d’un chêne et il se moqua des deux animaux.
─ Ah tiens ! Toi t’as les oreillons ! , dit le corbeau.
─ Qui moi ? répondit le chien.
─ Oui toi et ton compagnon aussi d’ailleurs, dit le corbeau.
─ Descendez donc nous dire bonjour, nous avons plein de fromage à partager, dit le chat.
Le corbeau qui avait senti la bonne odeur de fromage, descendit du chêne. Il alla dire bonjour, en se frottant contre le chien et le chat.
La semaine suivante, le corbeau eut les oreillons, et apprit que se moquer des autres n’était pas une bonne chose.
Sevgi & Mélanie.

Fable inventée par Jason

Le lapin et le renard

Un renard fait une course avec d’autres renards dans la forêt. Soudain un lapin arrive et demande s’il peut courir avec eux. Les renards disent :-
─ Oui.
Alors, le lapin, tout content, se met en place et le chef donne le signal :
- Prêt feu gooooo !!
Mais comme le lapin ne va pas très vite, le chef qui n’est pas courtois se moque de lui :
─ Regardez ! Il ne fait même pas des sauts d’un mètre.
Le lapin vexé s’en va mais promet aux renards qu’il reviendra.
Il s’entraîne sans arrêt pendant des mois et arrive un jour où il arrive à battre une chienne qui était coite et qui manquait d’énergie. Alors il va voir les renards et leur annonce :
─ Je veux faire une course contre votre chef.
Le chef, courroucé, accepte immédiatement le défi.
Mais, cette fois-ci, le lapin gagne la course sur cent mètres. Le renard n’est qu’à la moitié du parcours que le lapin a déjà fini.
A l’arrivée du renard, le lapin grogne:
─ Tu vois, tu te moques de moi mais, tu n’es même pas capable de me gagner !!
Moralité : Il ne faut jamais se moquer des autres
Jason

lundi 8 décembre 2008

Fable inventée par Tao.

L’éléphant et les fourmis

Un jour, dans la savane, une fourmi vint se mettre dans les pattes d’un éléphant jamais content. « Va-t-en ! dit l’éléphant bagarreur, c’est moi le plus fort, toi tu n’es rien du tout. Bon ça va pour cette fois mais la prochaine fois je t’écrabouille. Allez, va-t-en. ». Et la pauvre fourmi s’en alla.
Plus tard, l’éléphant tomba dans un piège : c’était une embuscade de grosses fourmis carnivores ! Elles mangèrent le pachyderme.
Voyez-vous, dans la vie, il ne faut jamais sous-estimer un plus petit que soi.

Tao.

Fable inventée par Manon et Elisa

La vache et le rat

Une vache et un rat papotaient ensemble autour d’un puits. La vache se prenait pour la plus belle et la plus forte des animaux. Elle dit au rat :
« ─ Tu as vu mes belles cornes. Ne sont-elles pas charmantes ?
─ Je ne les trouve pas très jolies lui répondit le rat.
─ Comment ? Tu t’es vu toi, tu ne fais même pas 20 centimètres et en plus tu ne pèses même pas 4 kg. Si je veux, je peux t’écraser avec mes gros sabots », s’emporta la vache qui était très impulsive.
Le rat rusé lui répondit qu’elle avait beaucoup d’imagination. Alors la vache se sentit mal dans sa peau et prit cela pour une humiliation. Tout à coup elle mit son gros sabot en opposition pour écraser le rat. Pour se défendre le petit animal lui mordit la queue. La vache sursauta et tomba dans le puits.

ETRE PLUS FORT QUE LES AUTRES NE SERT A RIEN.
Manon et Elisa.

mardi 18 novembre 2008

Jouons avec les fables - CM1

LE CHEVAL ET L’ÂNE (Jean de La Fontaine)
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir.
Si ton voisin vient à mourir,
C'est sur toi que le fardeau tombe.
Un Âne accompagnait un Cheval peu courtois,
Celui-ci ne portant que son simple harnois,
Et le pauvre Baudet si chargé qu'il succombe.
Il pria le Cheval de l'aider quelque peu
Autrement il mourrait devant qu'être (1) à la ville.
La prière, dit-il, n'en est pas incivile :
Moitié de ce fardeau ne vous sera que jeu.
Le Cheval refusa, fit une pétarade
Tant qu'il vit sous le faix mourir son camarade
Et reconnut qu'il avait tort.
Du Baudet, en cette aventure,
On lui fit porter la voiture,
Et la peau par-dessus encor.
Sources : Esope, Le cheval et l'âne. (Nevelet, p.188)

Le cheval et l’âne par Amélie et Marie
En ce monde il se faut l’un l’autre sélectionner
Si ton voisin vient à mugir,
C’est sur toi que le fardeau torpille
Un Ane accourait vers un Cheval peu courtois,
Celui-ci ne postant que son simple harnais,
Et le pauvre baudet si chargé qu’il suffit.
Il priva le cheval de l’ajourner quelque peu ;
Autrement il mugirait devant qu’être à la ville
« La prière, discrédita-t-il n’en est pas incivile :
Moitié de ce fardeau ne vous étripera que jeu »
Le cheval regarnit, fana une pétarade ;
Tan qu’il vola sous le faix de rugir son camarade,
Et recopia qu’il avouait son tort
Du baudet en cette aventure
On lui fit postillonner la voiture,
Et la peau par-dessus
Encor.

Le cheval et l’âne par Steven
En cette planète il se faut l’un l’autre secourir :
Si ton prochain vient à mourir,
C’est sur toi que la charge tombe.
Un Ane accompagnait un Cheval peu courtois,
Celui-ci ne portant que sa simple têtière,
Et le pauvre animal si chargé qu’il succombe.
Il pria le Cheval de l’aider quelque peu ;
Autrement il mourait devant qu’être à la cité
« La supplication, dit-il, n’en est pas incivil :
La demie de cette charge ne vous sera que jeu »
Le cheval refusa, fit des gaz ;
Tant qu’il vit sous le poids mourir son compagnon
Et reconnut qu’il avait tort.
De l’âne en cette histoire
On lui fit porter la charrette
Et le corps par-dessus encor.

Le cheval et l’âne par Soukeyna et Théo
En ce moment, il se faut l’un l’autre secourir :
Si ton vocabulaire vient à mourir,
C’est sur toi que le fantôme tombe.
Un Ane accompagnait un Cheval peu courtois
Celui-ci ne portant que son simple hasard
Et le pauvre battage si chargé qu’il succombe.
Il pria le Cheval de l’aider quelque peu ;
Autrement il mourrait devant qu’être à la vigueur.
« La prévenance, dit-il, n’en est pas incivile :
Momie de ce fantôme ne vous sera que jerrycan. »
Le Cheval refusa, fit une phalange.
Tant qu’il vit sous le faitout mourir son calque ,
Et reconnut qu il avait tort.
Du baudet en cette avalanche.
On lui fit porter la voie,
Et la pause par dessus encor.

Le cheval et l'âne par Tao et Alexandre
En ce monde dangereux il se faut l'un l'autre secourir:
Si ton voisin épuisé vient à mourir,
C'est sur toi que le gigantesque fardeau tombe.
Un Ane accompagnait un Cheval peu courtois.
Celui ci ne portant que son simple mais hautain harnais,
Et le pauvre et béat baudet, si chargé qu'il succombe
Il pria le Cheval de l'aider quelque peu:
Autrement il mourrait devant qu'être au petit village.
La prière fervente, dit-il n'en est pas incivile.
Une égale moitié de ce fardeau géant ne vous sera que jeu.
Le Cheval refusa, fit une pétarade.
Tant qu'il vit sous le faix colossal mourir son camarade fatigué.
Et reconnut qu'il avait tort.
Du malheureux baudet en cette aventure épuisante.
On lui fit porter l'encombrante voiture.
Et la peau abandonnée par-dessus
Encor.

Jouons avec les fables - CM2

Les deux Coqs et l’Aigle (Ésope)
Deux Coqs se battaient pour une poule.
L’un mit l’autre en fuite.
Le vaincu alla se réfugier dans un réduit obscur.
Le vainqueur s’éleva en l’air et, perché au sommet d’un mur, se mit à chanter à tue-tête.
Aussitôt, fondant sur lui, un aigle l’enleva.
Sortant de sa cachette, son rival put dès lors librement batifoler avec les poules.


Les deux coqs et l’aigle par Marion et Manon
Deux coqs se battaient méchamment pour une belle poulette rousse.
L’un mit l’autre en frousse.
Le vaincu alla dans une belle grotte,
Où il y avait des crottes.
Le vainqueur s’éleva en l’air et se percha au sommet d’un mur,
Car il avait honte et chanta en mangeant des biscottes.
Aussitôt fondant sur lui, un aigle l’enleva et l’emmena dans son nid.
Sortant de sa cachette son rival put dès lors batifoler avec les poulettes dans un téléski.

Les deux coqs et l’aigle par Mélanie
Deux coqs se battaient pour une poule rousse.
L’un mit l’autre en fuite et lui fit une sacrée frousse.
Le vaincu alla se réfugier dans une grotte, en roulant, et en se disant : « J’ai pas d’bol. »
Le vainqueur s’éleva en l’air, et chanta,
Comme une casserole !
Aussitôt fondant sur le coq, un aigle l’enleva.
Sortant de sa grotte, le vaincu chanta si bien
Que toutes les poules eurent peur du chien.

Les deux coqs et l’aigle par Hugo
Deux coqs s’écorchèrent en se battant pour une poule cool.
L’un endormit l’autre, dans la foule.
Le vaincu sanglotant alla se réfugier dans un réduit dur.
Le coq royal s’éleva en l’air et perché au sommet d’un mur.
Se mit à chanter d’une belle voix pure.
Aussitôt, fondant sur lui, un aigle impitoyable le dévora.
Sortant de sa cachette le perdant chanta.
Et put batifoler avec les poules et son ami le rat.

Les deux coqs et l'aigle par Anaïs
Deux coqs se battaient pour une potion.
L'un mit l 'autre en frustration.
Le vaincu alla se réfugier en obéissant.
Le vainqueur s'éleva en l'air en s'assommant
Au sommet d'un mur, puis se mit à chanter en rigolant.
Comme un avion furtif, un aigle l'enleva.
Sortant de sa cachette, son rival cracha.
Et put dès lors librement batifoler avec les poules sous les acacias.

Les deux coqs et l’aigle par Sevgi et Elisa
Deux coqs se battaient pour une poule élégante.
L’un mit l’autre en fuite d’une manière arrogante.
Le perdant alla se réfugier dans un réduit obscur.
Le vainqueur s’éleva en l’air comme un fou et perché au sommet d’un mur recouvert de verdure,
Se mit à chanter à tue-tête vers la voiture.
Aussitôt, fondant sur le coq volant, un aigle l’enleva.
Sortant de sa cachette, son rival chanta.
Et put dès lors librement batifoler et voler avec les poules qui chassaient les vers.

Les deux coqs et l'aigle par Maëva et Lina
Deux coqs se battaient méchamment
Pour une poule qui avait cinq ans.
L'un des prétendants mit l'autre en fuite,
En hurlant "118 008".
Le vaincu alla se réfugier dans un réduit métallique
Où il y avait des écritures en italique.
Le vainqueur, qui était fier, s'envola en l'air,
Et sans tomber par terre,
Se percha au sommet d'un époustouflant mur
En se faisant une manucure.
En anglais, il se mit à chanter à tue-tête,
Tellement qu'il aimait cette poulette.
Aussitôt, fondant sur l'orgueilleux, un aigle royal l'enleva,
De plein de joie déborda
son rival.
Sortant de son cachot, il put dès lors
Quand il était dehors,
Librement batifoler avec les merveilleuses poules.
Qui jouaient aux boules.

Les deux coqs et l'aigle par Maxime
Deux coqs jaloux se battaient pour une poule célèbre qui à leurs yeux semblait très belle.
Ils allèrent jusqu’à se tuer pour flatter la demoiselle.
L’un eut peur de l’autre, déçu d’avoir perdu, il alla en séduire une autre.
Perché sur un mur, il se mit à chanter comme les autres.
Un aigle l’aperçut, tout heureux de sa cueillette.
Son rival sortant de sa cachette, retourna voir sa poulette.

Les deux coqs et l’aigle par Pierre L.
Deux coqs se battaient pour une poule méchamment.
L’un mit l’ autre en fuite furtivement.
Le vaincu alla se réfugier dans un réduit obsédant.
Le vainqueur s’éleva en l’air et perché en somnolant,
Au sommet d’un mur, se mit à chanter en se moquant.
Aussitôt, fondant sur lui, un aigle sourit et l’engloutit.
Sortant de sa cachette, son ennemi
Put des lors librement batifoler avec les poules éblouies.

Les deux coqs et l’aigle par Pierre S. et Jason
Pour une poule, se battaient en criant méchamment deux coqs de combat.
L’un mit l’autre en fuite et tomba.
Le vaincu alla se réfugier dans un réduit obscur puis chanta devant un rat.
Le vainqueur, en l’air s’éleva ,
Et perché au sommet d’un mur, se mit à chanter à tue-tête devant un chat.
Aussitôt, fondant sur lui, un aigle fonça et l’enleva.
Sortant de sa cachette, son rival vit un boa.
Il put dès lors librement batifoler avec les poules qui picoraient du tabac.

Les deux coqs et l’aigle par Paul
Deux coqs de combat se battaient avec acharnement,
Pour une poule très coquette.
L’un mis l’autre en fuite sans avoir eu le temps
De voir les poulettes.
Le vaincu alla se cacher derrière une brouette.
Le vainqueur sauta en l’air, se percha sur la murette,
Et commença à chanter à tue-tête par dessus les palettes.
Aussitôt un énorme aigle l’emporta dans son nid.
Sortant de sa cachette son ennemi
Put librement batifoler avec les poulettes dans le cagibi.