mercredi 31 décembre 2008

Roman inventé - chapitre 2 (2ème jet)

Bonjour les enfants, je suis désolé de vous déranger pendant les vacances mais je viens de finir la synthèse de vos propositions pour l'amélioration du chapitre 2. J'ai essayé de reprendre plusieurs de vos bonnes idées mais malheureusement je n'ai pas pu toutes les intégrer. Si vous lisez ce message avant la rentrée, n'hésitez pas à laisser des COMMENTAIRES.


Remarque : le 1er jet de la classe de Mme Rigaudie est écrit, en noir, nos propositions et améliorations sont en bleu. Bonne lecture !


Chapitre 2

Le soir Arthur s’allongea et poursuivit la lecture de son encyclopédie sur les animaux, mais épuisé par sa première journée de classe, il s’endormit en laissant son livre ouvert. Dans la nuit, les animaux sortirent du livre et se dirigèrent vers la forêt voisine pour trouver un point d’eau.

Soudain, Arthur sursauta, victime d’un horrible cauchemar ; il prit l’encyclopédie et la feuilleta page après page… Malheur ! Son cauchemar était devenu réalité ! Le livre était tout blanc ou presque : il ne restait que le texte ! Ce n’était pas la première fois que cela se produisait. Arthur devait agir et vite. Il s’habilla et sortit à toute vitesse. La nuit était noire et il ne voyait rien. Il décida d’aller chercher Leïla.

Par chance, elle ne dormait pas, la lumière de sa chambre était encore allumée. Il frappa à sa fenêtre. Dix secondes plus tard, Leïla était face à lui.

« -- Leïla, j’ai besoin de ton aide. Les animaux sont sortis de mon livre !dit-il confus et nerveux.

-- Qu’est-ce que tu racontes ? s’exclama Leïla.

-- Non, c’est vrai ! J’ai fait un cauchemar. Quand je me suis réveillé, j’ai regardé mon livre : il était vide, les pages étaient blanches ! Les animaux avaient disparu !

-- N’importe quoi ! rétorqua Leïla.

-- Mais si je t’assure, je sais que c’est difficile à croire, mais je ne te mens pas ! D’ailleurs, il faut que je te révèle autre chose : je peux les faire revenir car j’ai le don de parler avec les animaux, tous les animaux !

-- Eh bien, prouve-le ! dit simplement Leïla.

Alors Arthur se concentra et demanda à voix haute à un papillon de nuit qui passait par là, de venir se poser sur son bras. Le petit animal obéit aussitôt.

-- Wouah ! Comment fais-tu ça ? Je n’en crois pas mes yeux ! soupira Leïla, stupéfaite.

-- Je ne sais pas trop. Je suis né avec ce don. Bon, tu me crois maintenant, alors viens avec moi. Il faut se dépêcher de les retrouver et de les ramener dans leur livre.

Leïla accepta, elle se munit d’une lampe-torche et sortit de chez elle.

Au loin, ils entendirent des bruits étranges venus de la forêt, ils s’approchèrent un peu plus près et ils aperçurent les animaux penchés au-dessus de l’eau mauve.

« -- Quelle couleur étrange ! Que se passe-t-il donc ?, chuchota Leïla.

-- On dirait que l’eau a été empoisonnée, murmura Arthur.

Puis, il se concentra à nouveau et demanda aux animaux ce qui se passait. D’un seul coup, toutes les bêtes se retournèrent et se mirent à aboyer, piailler, rugir, grogner en même temps. Leïla fut encore une fois très surprise et demanda à son compagnon :

-- Que se passe-t-il ?

-- Chut, je ne comprends pas ce qu’ils disent, chuchota Arthur.

Puis il s’adressa de nouveau aux animaux :

-- Je veux voir votre chef.

Alors, les animaux s’écartèrent et laissèrent passer un gros taureau aux immenses cornes et avec une petite barbichette :

-- Je m’appelle Taurinau, meugla le Taureau.

-- Que faites-vous là ? Pourquoi êtes-vous sortis du livre ?

-- Nous sommes sortis du livre pour vous prévenir, petit homme, les animaux de cette région sont en danger, il faut les aider. Regarde, mugit-il en pointant du toi la mare violette.

Arthur s’approcha de l’eau mais Leïla le devança : elle plongea timidement la main dans l’eau colorée. Elle en sortit un poisson mort, de ses branchies sortait un liquide rouge. « Du sang ! » s’écrièrent les deux enfants.

-- Qui a empoisonné cette eau ? Et pourquoi ? marmonna Arthur.

-- Oh non, ils sont revenus ! répondit Leïla.

-- Qui ? interrogea Arthur.

-- Les chasseurs ! Mais je t’expliquerai plus tard.

Lorsque les deux enfants se retournèrent, tous les animaux s’étaient volatilisés. Arthur sortit son encyclopédie et il découvrit qu’ils avaient repris leur place dans le livre. Les enfants purent enfin rentrés chez eux.

Le lendemain, c’était mercredi. Leïla n’avait pas dormi de la nuit, Arthur non plus, d’ailleurs. Elle le vit qui l’attendait à la sortie de son activité de gymnastique. Il voulait lui parler des événements de la veille.

vendredi 19 décembre 2008

Histoire de Monstres par Soukeyna


Le monstre de l'Ile Noire
Un jour, qu’il faisait orage, je suis sortie dehors. D'étranges empreintes de pas marquaient le sol de l'île. J'étais étonnée.
Quelques jours plus tard, les empreintes avaient disparu et je me suis demandée pourquoi.
Je suis retournée chez moi et ma maman m’a dit : « Qu’est-ce qu'il t’arrive ma chérie ? »
J'ai répondu : « Il n'y a plus les empreintes ! » et elle m’a dit, énervée, « Tu ne racontes que des bêtises, retourne dans ta chambre immédiatement. »
Mais ce fut encore plus atroce lorsque que je suis sortie pour vérifier si les empreintes étaient toujours là. J’ai vu quelque chose bouger. J'ai eu très peur et je n’ai même pas eu le temps de regarder que quelque chose m’a agrippé et m’a emporté.
J'ai crié : « A l’aide !! Au secours !! Il y a quelqu’un qui m’attaque !! Aidez-moi. »
Mais personne ne m’a entendue. Quand je me suis réveillée, devant moi, il y avait un monstre horrible, vert et dégoulinant de sang. C’était terrifiant. Mais le plus inquiétant, c'était que ma mère avait peur pour moi.
Je me suis rendue compte qu'il fallait que je fasse quelque chose. En effet, il se nourrissait de viande et d’os.
Quand il s’est retourné, j'ai pris mon assiette de poulet et quand il a senti cette odeur et qu’il a vu l'assiette sur mes genoux, son regard souriait. Je lui ai dit : « Est-ce que tu veux du poulet ? » Il ma répondu : « Oui !»
Alors on a fait un contrat. Il réfléchissait mais il ne savait pas s'il devait me lâcher ou s’il me devait me manger.
A vrai dire, pendant la nuit, et la journée, il passait son temps à réfléchir. Alors, je lui ai dit : « si tu ne te décides pas, je ne te donne pas le poulet !!» Et il m’a répondu : « D'accord j'ai envie de ce bon poulet. » Tout s'est bien passé. J'ai pu retourner chez moi, et quand ma mère m’a vue par la fenêtre, elle est vite descendue me voir et elle m’a dit : « J'ai eu peur pour toi, où étais-tu passée ? »
C'était une grande histoire…nous sommes rentrées à la maison.

Texte réalisé par Soukeyna cm1

Histoire de monstres par Mélanie et Elisa






Le monstre de ma nouvelle trousse Diddl.
Alors que j'étais encore petite, un jour, j'ai vu un monstre dans la nouvelle trousse Diddl que ma mère venait de m’acheter.
En ouvrant ma trousse pour la première fois, j’ai trouvé des restes d'encre indiquant qu'un festin s’y était déroulé.
Moins de quelques heures après le repas du soir, j’ai aperçu des touffes de poils blancs qui venaient du sol de ma chambre.
Mais le pire survint quand j'ai aperçu la patte verte et gluante du monstre dans le placard de la salle de bain au moment où je me brossais les dents.
Le lendemain, matin, mes parents et moi, nous nous sommes aperçus que ma trousse Diddl avait disparu de mon bureau. Au moment de quitter ma chambre, nous sommes tombés nez à nez avec, un monstre tout vert avec deux cornes de couleur rouge sur sa tête. Il était armé d'une hache tranchante en plastique et il tenait ma trousse dans sa main : c’était sûrement le démon dévoreur de trousse. Mes parents sont partis en hurlant et moi, je me suis approchée de lui et nous avons discuté. C’est là que j'ai découvert la vérité. Ce monstre se cachait sous mon lit et mangeaient mes stylos. Il ressemblait à une espèce de grenouille géante qui bavait dans sa main. Elle avait des yeux énormes et féroces. Ses oreilles étaient pointues et poilues. Sa peau semblait crasseuse et puante. Mais le plus repoussant, c'était son haleine. De sa bouche coulait un filet d’encre baveux. En effet, il ne mangeait que ce qu'il y avait dans les trousses et les cartables : par exemple les cahiers et les livres. Avec le temps nous apprîmes à mieux le connaître, bien qu'il fut infiniment crasseux et terriblement immonde.
A vrai dire, pendant la nuit, il passait son temps à manger tous mes feutres et il chantait.
Mais un jour, on entendit une flûte dans le lointain et on ne revit plus ni ce sympathique monstre ni ma trousse d’ailleurs.
Texte réalisé par Elisa et Mélanie

Histoire de monstres par Marion et Manon


Le monstre de la cité

Un jour, alors que c'était la rentrée des classes, le maître fut empesté par des boules puantes. Il croyait que c’était une mauvaise blague de ses élèves.
Mais en fait, ce n’était pas les élèves mais un gros monstre qui était à la fenêtre qui les avait lancées sur les murs de la classe.
Le samedi suivant, les inspecteurs qui recherchaient ce monstre, trouvèrent des empreintes de pas et des petites touffes de poils sur le sol mouillé de la cour de l’école. Il y avait aussi une matière étrange qui recouvrait les traces de ce gros monstre.
Mais le pire survint quand on entendit des bruits de hurlement. Le monstre était en train de dévorer le stylo plume d’un élève. Une odeur pestilentielle se répandit dans tous les pays du monde.
Après une enquête minutieuse, ce fut Gadget qui découvrit la vérité. L’inspecteur trouva la cachette de l’énorme bête puis, le monstre fut capturé et mis en cage par l'inspecteur.
C'était un monstre qui se cachait dans le placard à balais. Il bavait de partout. Avec des yeux énormes et féroces. Ses oreilles étaient pointues et poilues. Sa peau était recouverte de poils verts qui dégoulinaient de liquide mauve. Mais le plus horrible c'était ses yeux noirs qui nous regardaient avec mépris et ses dents énormes et bleues. En effet, il se nourrissait essentiellement de cartouches d’encre.
Avec le temps nous apprîmes à mieux le connaître. Bien qu'il fut infiniment cruel, dangereux, dégoûtant et méchant finalement en lui même il était gentil.

A vrai dire, pendant la nuit il passait son temps à faire peur, à se gratter et à chasser les souris.
Mais un jour, il y eut un orage et on ne le revit plus.

Marion et Manon

Histoire de monstres par Marie Jaubert

Le monstre de la salle de classe

Ce matin-là, nous étions en train de faire des maths. Je n’écoutais pas le maître, je regardais autour de moi quand j’ai vu des empreintes partout sur le sol et sur les murs. Quand la sonnerie a retenti pour sortir, je me sentais toute bizarre.
Quelques heures après la récréation, les empreintes avaient disparu, mais de curieuses marques de griffes étaient visibles sur les cahiers.
Mais ce qui est devenu vraiment inquiétant, c'est quand le maître s’est pris pour un singe. Il était horrible. On s’est aperçu qu'il avait des comportements étranges. Avec beaucoup de prudence, je me suis approchée de lui, très doucement ! Il m’a crié dessus !!
Il était devenu un animal terrifiant et qui faisait très peur avec des yeux énormes et féroces. Ses oreilles étaient pointues et énormes. Sa peau était rouge d'énervement. Mais ce qui nous frappa le plus c'était sa manière de nous parler. Sa bouche qu’il ouvrait tout le temps, montrait des dents jaunes. En effet, il ne se lavait jamais.
Pourtant, il était passé à la télé bien qu'il fut infiniment dangereux et terriblement pervers.
A vrai dire, pendant la nuit, il passait son temps à tout écraser dans la classe.
Mais un jour, il y a eu une inondation, et on ne l’a jamais revu.
Notre nouveau maître s’appelle Mr Vinais, il ressemble étrangement à notre prof du début de l’année !!
C’est à ce moment que je me suis réveillée : on dirait bien que j’ai fait un cauchemar.
Texte réalisé par Marie Jaubert - Cm1

jeudi 18 décembre 2008

Histoire de monstres par Amélie et Steven


Le monstre du placard de ma chambre

Le jour de mon anniversaire le 20 mars, j'ai ouvert mon placard à balais pour balayer ma chambre pleine de papiers cadeaux. J'ai trouvé un monstre tout orange dans une boîte. Elle était toute gluante, dégoûtante car du liquide et de la fumée verte en sortaient.
De curieuses marques énormes, noires, et plein de traces de griffes étaient visibles sur ma moquette toute blanche.
Mais quelques temps après, je ne les retrouvais plus. « Mince , flûte !» me dis-je.
Trois heures après elles ont réapparu mais il y en avait de deux sortes. Et en plus ce n'était même pas les mêmes ! « Ai-je deux monstres dans ma chambre ? »
Mais ça a été encore plus atroce lorsque que l'orage est arrivé et que les lumières se sont éteintes !
J’ai entendu de drôles de bruits comme des flammes qui crépitaient dans mon placard et une odeur pestilentielle s’est répandu dans ma chambre. Avec beaucoup de prudence, je me suis approché de mon placard, mais je suis retourné dans mon lit en courant…trop peur !
Un peu plus tard, j'ai eu la chance de découvrir le monstre qui se cachait dans ma chambre parce qu’il est sorti pour me faire peur.
C'était un mini troll très méchant avec des yeux de requin féroce. Ses oreilles étaient pointues, énormes, et poilues. Sa peau était couverte de graisse toute sale.
Mais le plus mignon, c'était sa bouche qui était rose pâle et en forme de cœur d’où coulait du sang tout baveux. En effet, il adorait se délecter de chair...mais pas de la mienne (OUF !!). Un jour il est parti prendre l’air et je ne l’ai pas jamais revu...
Texte inventé par Amélie et Steven

Histoire de monstres par Jason

Le monstre de la salle de bain
Un jour de l'année dernière, alors qu’il pleuvait, une matière visqueuse et étrange recouvrit le plancher de la cuisine.
Beaucoup plus tard, d'étranges empreintes de pas marquèrent le sol de la salle de bain. Alors de mauvais souvenirs remontèrent dans les mémoires. Quand les gens découvrirent les premiers indices de sa présence, des bruits horribles se firent entendre dans la cave.
Courageusement, les gens alllèrent voir dans la cave.
C’est le père qui découvrit la vérité : c'était un monstre qui se cachait dans la baignoire de la salle de bain. C'était un cyclope terrifiant, avec un seul oeil qui était géant. Ses oreilles étaient pointues et poilues. Sa peau était vert foncé. Mais ce qui me plaisait, c'était sa bouche remplie de dents pointues et énormes.
Le plus drôle c’est qu’il ne dévorait que de l'herbe. Il n'aimait pas la chair humaine. Le dimanche quand personne ne travaillait, on ne manquait d'aller le voir. Bien qu'il fut infiniment cruel, nous l'aimions bien. On ne savait pas à quoi il s'occupait mais on soupçonne qu'il passait son temps à faire de la musculation et à faire des farces au gens qui passait, ça l'amusait beaucoup.
Mais un jour, il y eut une inondation, il prit peur et disparut à jamais.

Jason

Histoires de monstres

Au cours d'un atelier d'écriture, tous les enfants de la classe ont rédigé une histoire faisant intervenir un monstre. Ce travail a été réalisé à partir du logiciel Genrécit. Ce logiciel propose aux enfants un fil conducteur dans lequel ils doivent naviguer en opérant des choix mais également en enrichissant les différentes options possibles. Les productions des enfants sont particulièrement riches et intéressantes. Chacune des histoires obtenues est singulière bien que le point départ soit commun à tous les enfants.

mardi 16 décembre 2008

Chansons de noël

Aujourd'hui, j'ai apporté un cd avec 10 chansons de noël . Il y en a une qui s'appelle "jingle bells". Nous sommes en train de l 'apprendre.
Théo

Lola et les loups.

En classe nous avons lu un petit roman qui s'intitule " Lola et les loups " de Anne-Marie Pol. Il raconte l'histoire d'une petite fille, Lola, qui est persuadée qu'il y a des loups dans la montagne alors que les adultes n'y croient pas...


Voici les moments que nous avons préférés :


-Marie, Théo et Alexandre ont préféré le moment où Lola a trouvé des louveteaux (ou des chiots ?) dans la montagne.

-Amélie et Steven ont adoré le moment où un chasseur a failli tirer sur un loup (ou un chien, le livre n'est pas clair sur ce point).

-Pour Soukeyna, le meilleur moment du livre, c'est quand Lola nourrit son louveteau préféré.

-Tao, lui, a apprécié le passage où Lola ramène les chiots dans la montagne.


Les élèves de CM1

dimanche 14 décembre 2008

Chichois et la rigolade


Personnages du livre :
Chichois, Amador, Mémé Za, Maman, Papa, les autres copains de Chichois

Mots rigolos :
Bernigas, bédigas, estabouli, esquicher, pipidon,...

Résumé :
M. Pardigon a demandé à ses élèves de rédiger un cahier de rigolade. Avec Mémé Za et Tonton Scipion, pour Chichois, ce sera facile. D'ailleurs quand il entend Mémé Za parler des "trois poilus", ça lui donne une idée brillante...

Tao

Fable inventée par Paul et Pierre S.

La tortue, la louve et le cheval

Une tortue était amoureuse d'un merveilleux cheval.
Un jour, une belle louve vit ce beau cheval dans un pré, elle le contempla un long moment et devint folle amoureuse de lui. Le cheval qui avait vu les deux prétendantes tourner autour de lui, préférait la tortue à la louve. Les autres chevaux lui dirent que la louve était plus belle et qu'il fallait aller vers elle. Le cheval dit : "Chacun a ses goûts, je préfère la tortue car elle a l'air gentille."
Pendant la nuit, le cheval se demanda qui il devait choisir entre la louve et la tortue.
Le lendemain matin, il avait son choix. Il préférait la tortue à la louve qui avait l'air méchante. Cette dernière mécontente rentra chez elle. Et, le cheval et la tortue se marièrent dans la plus grande discrétion.

Moralité : Suivre son instinct vaut mieux que d'écouter les autres.
Pierre S. et Paul

Fable inventée par Maëva et Marion

Le chat et le chien.

Un jour, un beau chien qui vivait dans une riche famille, rencontra un chat errant. Il lui dit: « Sors-toi de mon chemin, je ne veux pas que tu me donnes des microbes ! » Le chat, en colère, lui répondit : « Je sais que tu es né dans une famille aisée, mais, ce n’est pas une raison pour me traiter ainsi moi, qui ne mange pas tous les jours ! Toi, tu as une famille et des enfants qui jouent avec toi, alors que moi, je n’ai personne ! » Le chien partit sans rien dire.
2 heures plus tard, il revint voir le chat. Il lui dit : « je suis désolé de t’avoir traité ainsi ! » Le chat accepta les excuses du chien. Et celui-ci, pour se faire pardonner, donna au félin de l’argent, exactement 15€45c !

Moralité : L’ARGENT NE FAIT PAS LA MECHANCETE !
Marion et Maëva.

samedi 13 décembre 2008

Chichois et la rigolade


J'ai bien aimé le moment où Monsieur Pardigon, l'instituteur de Chichois, parle de la guerre de l'orthographe. Il explique à la classe que changer l'orthographe d'un mot c'est comme si on lui coupait quelque chose. Chichois est très surpris surtout quand Monsieur Pardigon donne des exemples en se servant de la tête des élèves. Personne n'aimerait qu'on nous change nos têtes et bien pour les mots, c'est pareil !

Théo

(Illustration de Colline)

mardi 9 décembre 2008

Fable inventée par Hugo

Le singe, le perroquet et son fils

Dans un bar louche et malfamé, un perroquet jouait au poker. Il misait beaucoup trop. Un singe malicieux voulut le défier pour le plumer : «Je parie tout mon argent, jusqu’au dernier centime que je te bats!» Le perroquet accepta tête baissée le défi. Ils se mirent à jouer passionnément. Une heure plus tard, le volatile était ruiné et dit très énervé : « Je parie sur la tête de mon fils que je regagne tout!!»
Ils se remirent à jouer, encore plus captivés, mais l’oiseau fut encore vaincu. Alors, le perroquet encore confus, vit son fils se faire trancher tête.

Moralité : Il ne faut jamais jouer avec la vie d’une personne.
De Hugo

Fable inventée par Steven et Alexandre

Le lion et les Gazelles

En Afrique, il y avait un lion très fort qui se croyait intelligent. Ce lion voulait chasser car il avait très faim. Il s’approcha d’un groupe de gazelles et dit:
─ Je suis le roi des animaux, je suis beaucoup plus puissant que vous et je vais vous dévorer !
─ Ah ah ah ! Tu es plus puissant que nous, mais nous sommes plus intelligentes que toi», répondirent les gazelles.
Alors, le fauve se mit à les poursuivre mais celles-ci l’entraînèrent dans un piège qu’avaient installé des chasseurs.

Moralité : La force ne fait pas l’intelligence.

Steven et Alex

Fable inventée par Sevgi et Mélanie

Le corbeau, le chien et le chat.

Un dimanche soir, un chat tomba malade. Il avait les oreillons. Le chat alla s’asseoir sur une marche près d’une ferme. La fermière accueillit le chat chez elle. Elle avait un chien qui lui aussi avait les oreillons.
Le lendemain matin, les deux animaux sortirent de la ferme.
Un corbeau alla se mettre sur la branche d’un chêne et il se moqua des deux animaux.
─ Ah tiens ! Toi t’as les oreillons ! , dit le corbeau.
─ Qui moi ? répondit le chien.
─ Oui toi et ton compagnon aussi d’ailleurs, dit le corbeau.
─ Descendez donc nous dire bonjour, nous avons plein de fromage à partager, dit le chat.
Le corbeau qui avait senti la bonne odeur de fromage, descendit du chêne. Il alla dire bonjour, en se frottant contre le chien et le chat.
La semaine suivante, le corbeau eut les oreillons, et apprit que se moquer des autres n’était pas une bonne chose.
Sevgi & Mélanie.

Fable inventée par Jason

Le lapin et le renard

Un renard fait une course avec d’autres renards dans la forêt. Soudain un lapin arrive et demande s’il peut courir avec eux. Les renards disent :-
─ Oui.
Alors, le lapin, tout content, se met en place et le chef donne le signal :
- Prêt feu gooooo !!
Mais comme le lapin ne va pas très vite, le chef qui n’est pas courtois se moque de lui :
─ Regardez ! Il ne fait même pas des sauts d’un mètre.
Le lapin vexé s’en va mais promet aux renards qu’il reviendra.
Il s’entraîne sans arrêt pendant des mois et arrive un jour où il arrive à battre une chienne qui était coite et qui manquait d’énergie. Alors il va voir les renards et leur annonce :
─ Je veux faire une course contre votre chef.
Le chef, courroucé, accepte immédiatement le défi.
Mais, cette fois-ci, le lapin gagne la course sur cent mètres. Le renard n’est qu’à la moitié du parcours que le lapin a déjà fini.
A l’arrivée du renard, le lapin grogne:
─ Tu vois, tu te moques de moi mais, tu n’es même pas capable de me gagner !!
Moralité : Il ne faut jamais se moquer des autres
Jason

lundi 8 décembre 2008

Pavage réalisé par Mélanie


Les règles de la classe


Fable inventée par Tao.

L’éléphant et les fourmis

Un jour, dans la savane, une fourmi vint se mettre dans les pattes d’un éléphant jamais content. « Va-t-en ! dit l’éléphant bagarreur, c’est moi le plus fort, toi tu n’es rien du tout. Bon ça va pour cette fois mais la prochaine fois je t’écrabouille. Allez, va-t-en. ». Et la pauvre fourmi s’en alla.
Plus tard, l’éléphant tomba dans un piège : c’était une embuscade de grosses fourmis carnivores ! Elles mangèrent le pachyderme.
Voyez-vous, dans la vie, il ne faut jamais sous-estimer un plus petit que soi.

Tao.

Fable inventée par Manon et Elisa

La vache et le rat

Une vache et un rat papotaient ensemble autour d’un puits. La vache se prenait pour la plus belle et la plus forte des animaux. Elle dit au rat :
« ─ Tu as vu mes belles cornes. Ne sont-elles pas charmantes ?
─ Je ne les trouve pas très jolies lui répondit le rat.
─ Comment ? Tu t’es vu toi, tu ne fais même pas 20 centimètres et en plus tu ne pèses même pas 4 kg. Si je veux, je peux t’écraser avec mes gros sabots », s’emporta la vache qui était très impulsive.
Le rat rusé lui répondit qu’elle avait beaucoup d’imagination. Alors la vache se sentit mal dans sa peau et prit cela pour une humiliation. Tout à coup elle mit son gros sabot en opposition pour écraser le rat. Pour se défendre le petit animal lui mordit la queue. La vache sursauta et tomba dans le puits.

ETRE PLUS FORT QUE LES AUTRES NE SERT A RIEN.
Manon et Elisa.

samedi 6 décembre 2008

Règle pour les commentaires

Merci à tous ceux qui laissent des commentaires.
Mais une règle s'impose ! Ne seront publiés que les commentaires
qui ne comportent pas d'erreurs d'orthographe.
Bien sûr, vous pourrez corriger vos erreurs en classe et publier vos commentaires.

Jean-Yves Vinais

vendredi 5 décembre 2008

Nasreddine


La bonne médecine


J'ai lu une fable de Nasreddine. Cette fable s'appelle: "La bonne médecine". Je vais vous en faire un résumé:

Des amis de Nasreddine vont lui jouer un tour. Mais le hodja est très malin. Ses amis lui font croire que Mustafa est très malade. Car il ne sent ni ne goûte!

Nasreddine va chez lui et ramène un remède, le remède c'est un crotte de chèvre qu'il a pris soin d'enrober de sucre.

Mélanie

Nasreddine


Va Vite !

J'ai lu une fable de Nareddine qui s'appelle "Va Vite!" En voici un petit résumé :
Un soir, Nasreddine eut des invités alors il demanda à son fils:
-Va Vite chercher du thé à l'épicerie .
Le petit garçon y alla en courant et revint au bout d'une demi-heure en traînant des pieds. Mais les invités étaient déjà partis et Nasreddine le gronda. Le petit lui repondi:
-Mais tu m'avais rien dit pour le retour.
Sevgi

Chichois et la rigolade

Nous avons bien aimé ce livre écrit par Nicole Ciravégna parce qu'il y beaucoup de mots rigolos à l'interieur. Voici quelques exemples : estabouli = étonné, collégue = copain, tire-mou = fainéant, pipidon=puce de poule, babarotte = tristesse.
Et maintenant nous allons vous citer les noms de rue qui font rire Chichois et ses amis dans le livre : La rue des trois poilus, la rue rompe-cul etc...
Marie et Amélie

mardi 2 décembre 2008

L'oeil du loup


Nous avons lu un livre qui s'intitule "L'oeil du loup" de Daniel Pennac. Ce livre parle d'un petit garçon et d'un vieux loup borgne. Le petit garçon va voir la vie du loup à travers son oeil et le loup va découvrir celle de l'enfant à travers le sien. Le livre se passe en Afrique et en Alaska. Ce roman est bien car il y a une grande différence entre la vie du loup et celle de l'enfant. Nous vous conseillons de le lire.

Pierre L. et Paul

lundi 1 décembre 2008

Roman à 3 classes - Chapitre 1 - 3ème jet

CHAPITRE 1

Ce matin, un nouvel élève est arrivé dans la classe. Il avait l’air timide et angoissé. Ses cheveux châtains étaient tout ébouriffés et ses yeux verts brillaient. Sa peau était mâte comme s’il revenait des vacances d’été ! Il était vêtu d’un bermuda, d’un tee-shirt et chaussé de sandales.
Melle Léna Rine, notre maîtresse, lui a demandé de se présenter.
« Je m’appelle Arthur. J’ai 10 ans. Je suis fils unique. J’arrive de Guadeloupe. Mes parents font des documentaires sur les animaux. Ils se déplacent partout dans le monde. Comme je les accompagne, je change souvent d’école.
- Combien as-tu visités de pays ? lui a demandé William, toujours curieux
- Je ne sais plus exactement, il y en a beaucoup … »
Puis la maîtresse l’a placé à côté de moi et je l’ai aidé en lui expliquant le fonctionnement de la classe.

Pendant la leçon de maths, Arthur, la tête toujours baissée, n’écoutait rien, il ne semblait pas là. J’avais l’impression qu’il était resté sur son île. A un moment, avec ma maladresse habituelle, j’ai fait tomber ma gomme sous sa chaise. Je me suis empressée de la ramasser et c’est là que j’ai compris ce qui lui occupait l’esprit : un livre était discrètement posé sur ses genoux et Arthur l’examinait attentivement ! J’allais lui demander ce qu’il lisait quand la maîtresse l’a interpellé : « Arthur, combien font trois fois six ? » Je l’ai vu alors sursauter et repousser rapidement le livre mystérieux dans son casier tout en criant : « TROIS FOIS SIX, DIX HUÎTRES !! » Toute la classe a éclaté de rire mais la maîtresse s’est contentée de dire : «Dix-huit, Arthur, trois fois six, dix-huit. » Puis, elle a interrogé un autre élève et le calme est revenu.

A l’heure de la récréation, la maîtresse nous a fait sortir de la classe. Dans la cour, tout le monde est allé le voir pour lui poser des questions. Le pauvre ! Comme ils s’acharnaient sur lui, je me suis dit qu’il fallait que je le sorte de là. Je me suis avancé vers l’attroupement. Je l’ai pris par la main en lui murmurant : « Viens il faut qu’on parle ! ». Il m’a suivi et nous nous sommes dirigés vers mon banc préféré pendant que William et sa bande criaient : « Ouh, les amoureux ! »
- Merci Leïla, a-t-il commencé, tu m’as sauvé la vie. Je n’en pouvais plus de toutes ces questions!
- De rien. Ils ne sont pas méchants mais je sais que parfois ils sont un peu lourds avec les nouveaux, lui ai-je répondu.
Je n’ai pas laissé le silence s’installer entre nous deux et j’ai ajouté :
- Au fait, je voulais te demander quelque chose.
- Ah bon ! Et de quoi veux-tu me parler ?
- Euh… Ben, je t’ai vu ce matin !
- Qu’est-ce que tu as vu ?
- Ton livre sur les genoux !
- Ah ça ! C’est rien , c’est l’encyclopédie sur les animaux de la région que mon père m’a offerte avant notre arrivée ici. Les maths, c’est pas mon truc mais les animaux, j’adore !
Soudain, la sonnerie a retenti et nous sommes rentrés en classe.

Le reste de la matinée s’est déroulé sans que nous nous adressions à nouveau la parole : une sortie au cinéma était prévue, « Jour de fête » de Jacques Tatie. Pendant la séance, Arthur était assis à deux rangées de moi.
A midi, il est resté manger à la cantine. Tout le monde voulait s’asseoir près de lui, mais il n’y avait que 5 places disponibles pour faire une table complète ! J’étais à la table voisine. Arthur n’arrêtait pas de me regarder comme pour appeler au secours.
A la fin du repas, il est venu me voir. Il avait l’air un peu triste.
«- Pourquoi tu ne t’es pas assise à côté de moi à table ?
- Désolé Arthur, j’aurais bien aimé, mais il n’y avait plus de places quand je suis arrivée.
- Dis Leïla, tu veux jouer avec moi ?
- Heu … oui ! A quoi on joue ? Au loup ou à cache-cache ?
- Pourquoi pas au loup ! a-t-il répondu en souriant. »
Nous nous sommes tellement bien entendus que nous ne nous sommes pas quittés de l’après-midi.

Et le soir, j’ai eu la surprise de voir Arthur prendre le même bus que moi. Nous sommes descendus au même arrêt ! Et devinez quoi ? Nous sommes voisins !

vendredi 28 novembre 2008

jeudi 27 novembre 2008

Nasreddine


Jeudi 27 novembre, j'ai lu une histoire tirée du livre sur Nasreddine. Elle s'intitule "le hoquet" ; je vais vous la résumer.


Nasredine va chez le docteur. Il veut un remède contre le hoquet.Le docteur lui fait peur en lui mettant une gifle. Mais Nasreddine lui répond : "Ce n' est pas pour moi mais pour mon fils."



Hugo

Littérature



Nous, les CM², avons lu un roman qui s'appelle "Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler "de Luis Sépùlveda. C'est l'histoire d'un chat qui doit apprendre à voler à une mouette. Il m'a plu car c'est une histoire émouvante entre Afortunada, la mouette et Zorbas, le
chat. Les animaux, dans ce livre, parlent, j'ai adoré !

Maëva Vignard

lundi 24 novembre 2008

Les vacances de M. Hulot

Dessin de Maëva

Les vacances de M. Hulot

Dessin de Pierre S.

Les vacances de M. Hulot

Dessin de Marion

Les vacances de M. Hulot

Dessin de Manon

vendredi 21 novembre 2008

Les vacances de Monsieur Hulot

Nous avons bien aimé même si le film était en noir et blanc.

Maxime

Les vacances de Monsieur Hulot.

Dans la classe les avis sont partagés. Il y a des élèves qui ont bien aimé et il y en a qui ont détesté. Malgré ça, c'était un film rigolo.
Paul

Les vacances de Monsieur Hulot

J' ai bien rigolé quand le canoë s'est cassé en deux et que monsieur Hulot est resté coincé dedans. J' ai aussi apprécié le passage où il y a le grand feu d'artifice.
Jason

Métagramme de Maëva

_ _ _ : Pièce d’un bateau.

_ _ _ : Chose qu’il y a dans une phrase.

_ _ _ : Toilette d’un bébé .

_ _ _ : Animaux qu’on peut avoir sur la tête .

jeudi 20 novembre 2008

W comme Wapiti

Dessin de Hugo

X comme Xylocope

Dessin d'Anaïs

Y comme Yack

Dessin de Steven

Mots-Images 1

Maëva
Lina
Jason
Paul
Hugo
Maxime
Marion
Pierre








































































































































































































Métagramme de Manon

_ _ _ : Boisson alcoolisée faite avec du raisin.

_ _ _ : Dont l’attitude ou les intentions sont méprisables.

_ _ _ : Petite vallée.

_ _ _ : Fête où les gens dansent.

mercredi 19 novembre 2008

Ecole et Cinéma

Le vendredi 21 novembre, en matinée, les enfants iront voir Les vacances de M. Hulot de Jacques Tatie, au Ciné-Roc de Terrasson.

mardi 18 novembre 2008

Métagramme de Marion

_ _ _ : Adjectif possessif.
_ _ _ : Quelque chose qu’on écrit.
_ _ _ : Longue pièce de métal ou en bois dressée sur un bateau.
_ _ _ : Animal qui vit dans les égouts.

Métagramme de Mélanie

L i n a : Prénom féminin qui commence par un L.

- - - - : Capitale du Pérou.

- - - - : Sert à détacher par frottement des parcelles de matière.

- - - - : Déchiffrer.

- - - - : Echancrure pratiquée dans la hausse d’une arme à feu.

- - - - : Mot de la même famille que maternelle.

Métagramme de Tao

_ _ _ : (n.m.) Pillage.

_ _ _ : (n.m.) Bateau qui sert à transporter des personnes ou des véhicules d’une rive à l’autre.

_ _ _ : (n.m.) Grande étendue d’eau.

_ _ _ : (adj.) Sentiment qu’on éprouve quand on tombe.

_ _ _ : (n.m.) Céréale cultivée en Afrique.

Métagramme d'Amélie et Marie

J O I E : Sentiment agréable que l 'on ressent lorsque l'on est très content et heureux.

_ _ _ _ : Endroit par où l'on passe pour aller quelque part.

_ _ _ _ : Action qui se passe pendant les élections .

_ _ _ _ : Forme conjuguée du verbe aller .

_ _ _ _ : Mouvement naturel de l'air.

P comme Perroquet

Dessin de Maxime

F comme Flamand rose

Dessin de Pierre S.

I comme Iguane

Dessin de Maëva


Métagramme de Théo

_ _ _ _ _ _ _ : Grand animal d Asie qui a deux bosses sur le dos.

_ _ _ _ _ _ _ : Coiffure d’homme ou de femme.

_ _ _ _ _ _ _ : Grande et belle habitation.

Jouons avec les fables - CM1

LE CHEVAL ET L’ÂNE (Jean de La Fontaine)
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir.
Si ton voisin vient à mourir,
C'est sur toi que le fardeau tombe.
Un Âne accompagnait un Cheval peu courtois,
Celui-ci ne portant que son simple harnois,
Et le pauvre Baudet si chargé qu'il succombe.
Il pria le Cheval de l'aider quelque peu
Autrement il mourrait devant qu'être (1) à la ville.
La prière, dit-il, n'en est pas incivile :
Moitié de ce fardeau ne vous sera que jeu.
Le Cheval refusa, fit une pétarade
Tant qu'il vit sous le faix mourir son camarade
Et reconnut qu'il avait tort.
Du Baudet, en cette aventure,
On lui fit porter la voiture,
Et la peau par-dessus encor.
Sources : Esope, Le cheval et l'âne. (Nevelet, p.188)

Le cheval et l’âne par Amélie et Marie
En ce monde il se faut l’un l’autre sélectionner
Si ton voisin vient à mugir,
C’est sur toi que le fardeau torpille
Un Ane accourait vers un Cheval peu courtois,
Celui-ci ne postant que son simple harnais,
Et le pauvre baudet si chargé qu’il suffit.
Il priva le cheval de l’ajourner quelque peu ;
Autrement il mugirait devant qu’être à la ville
« La prière, discrédita-t-il n’en est pas incivile :
Moitié de ce fardeau ne vous étripera que jeu »
Le cheval regarnit, fana une pétarade ;
Tan qu’il vola sous le faix de rugir son camarade,
Et recopia qu’il avouait son tort
Du baudet en cette aventure
On lui fit postillonner la voiture,
Et la peau par-dessus
Encor.

Le cheval et l’âne par Steven
En cette planète il se faut l’un l’autre secourir :
Si ton prochain vient à mourir,
C’est sur toi que la charge tombe.
Un Ane accompagnait un Cheval peu courtois,
Celui-ci ne portant que sa simple têtière,
Et le pauvre animal si chargé qu’il succombe.
Il pria le Cheval de l’aider quelque peu ;
Autrement il mourait devant qu’être à la cité
« La supplication, dit-il, n’en est pas incivil :
La demie de cette charge ne vous sera que jeu »
Le cheval refusa, fit des gaz ;
Tant qu’il vit sous le poids mourir son compagnon
Et reconnut qu’il avait tort.
De l’âne en cette histoire
On lui fit porter la charrette
Et le corps par-dessus encor.

Le cheval et l’âne par Soukeyna et Théo
En ce moment, il se faut l’un l’autre secourir :
Si ton vocabulaire vient à mourir,
C’est sur toi que le fantôme tombe.
Un Ane accompagnait un Cheval peu courtois
Celui-ci ne portant que son simple hasard
Et le pauvre battage si chargé qu’il succombe.
Il pria le Cheval de l’aider quelque peu ;
Autrement il mourrait devant qu’être à la vigueur.
« La prévenance, dit-il, n’en est pas incivile :
Momie de ce fantôme ne vous sera que jerrycan. »
Le Cheval refusa, fit une phalange.
Tant qu’il vit sous le faitout mourir son calque ,
Et reconnut qu il avait tort.
Du baudet en cette avalanche.
On lui fit porter la voie,
Et la pause par dessus encor.

Le cheval et l'âne par Tao et Alexandre
En ce monde dangereux il se faut l'un l'autre secourir:
Si ton voisin épuisé vient à mourir,
C'est sur toi que le gigantesque fardeau tombe.
Un Ane accompagnait un Cheval peu courtois.
Celui ci ne portant que son simple mais hautain harnais,
Et le pauvre et béat baudet, si chargé qu'il succombe
Il pria le Cheval de l'aider quelque peu:
Autrement il mourrait devant qu'être au petit village.
La prière fervente, dit-il n'en est pas incivile.
Une égale moitié de ce fardeau géant ne vous sera que jeu.
Le Cheval refusa, fit une pétarade.
Tant qu'il vit sous le faix colossal mourir son camarade fatigué.
Et reconnut qu'il avait tort.
Du malheureux baudet en cette aventure épuisante.
On lui fit porter l'encombrante voiture.
Et la peau abandonnée par-dessus
Encor.

Métagramme de Hugo

F E U : Flammes et chaleur dégagées par une chose qui brûle.

- - - : Qui amusait le roi.

- - - : Ancienne pièce de monnaie.

- - - : Partie du corps qui part des épaules aux reins.

- - - : Qui manque d’intelligence.

Jouons avec les fables - CM2

Les deux Coqs et l’Aigle (Ésope)
Deux Coqs se battaient pour une poule.
L’un mit l’autre en fuite.
Le vaincu alla se réfugier dans un réduit obscur.
Le vainqueur s’éleva en l’air et, perché au sommet d’un mur, se mit à chanter à tue-tête.
Aussitôt, fondant sur lui, un aigle l’enleva.
Sortant de sa cachette, son rival put dès lors librement batifoler avec les poules.


Les deux coqs et l’aigle par Marion et Manon
Deux coqs se battaient méchamment pour une belle poulette rousse.
L’un mit l’autre en frousse.
Le vaincu alla dans une belle grotte,
Où il y avait des crottes.
Le vainqueur s’éleva en l’air et se percha au sommet d’un mur,
Car il avait honte et chanta en mangeant des biscottes.
Aussitôt fondant sur lui, un aigle l’enleva et l’emmena dans son nid.
Sortant de sa cachette son rival put dès lors batifoler avec les poulettes dans un téléski.

Les deux coqs et l’aigle par Mélanie
Deux coqs se battaient pour une poule rousse.
L’un mit l’autre en fuite et lui fit une sacrée frousse.
Le vaincu alla se réfugier dans une grotte, en roulant, et en se disant : « J’ai pas d’bol. »
Le vainqueur s’éleva en l’air, et chanta,
Comme une casserole !
Aussitôt fondant sur le coq, un aigle l’enleva.
Sortant de sa grotte, le vaincu chanta si bien
Que toutes les poules eurent peur du chien.

Les deux coqs et l’aigle par Hugo
Deux coqs s’écorchèrent en se battant pour une poule cool.
L’un endormit l’autre, dans la foule.
Le vaincu sanglotant alla se réfugier dans un réduit dur.
Le coq royal s’éleva en l’air et perché au sommet d’un mur.
Se mit à chanter d’une belle voix pure.
Aussitôt, fondant sur lui, un aigle impitoyable le dévora.
Sortant de sa cachette le perdant chanta.
Et put batifoler avec les poules et son ami le rat.

Les deux coqs et l'aigle par Anaïs
Deux coqs se battaient pour une potion.
L'un mit l 'autre en frustration.
Le vaincu alla se réfugier en obéissant.
Le vainqueur s'éleva en l'air en s'assommant
Au sommet d'un mur, puis se mit à chanter en rigolant.
Comme un avion furtif, un aigle l'enleva.
Sortant de sa cachette, son rival cracha.
Et put dès lors librement batifoler avec les poules sous les acacias.

Les deux coqs et l’aigle par Sevgi et Elisa
Deux coqs se battaient pour une poule élégante.
L’un mit l’autre en fuite d’une manière arrogante.
Le perdant alla se réfugier dans un réduit obscur.
Le vainqueur s’éleva en l’air comme un fou et perché au sommet d’un mur recouvert de verdure,
Se mit à chanter à tue-tête vers la voiture.
Aussitôt, fondant sur le coq volant, un aigle l’enleva.
Sortant de sa cachette, son rival chanta.
Et put dès lors librement batifoler et voler avec les poules qui chassaient les vers.

Les deux coqs et l'aigle par Maëva et Lina
Deux coqs se battaient méchamment
Pour une poule qui avait cinq ans.
L'un des prétendants mit l'autre en fuite,
En hurlant "118 008".
Le vaincu alla se réfugier dans un réduit métallique
Où il y avait des écritures en italique.
Le vainqueur, qui était fier, s'envola en l'air,
Et sans tomber par terre,
Se percha au sommet d'un époustouflant mur
En se faisant une manucure.
En anglais, il se mit à chanter à tue-tête,
Tellement qu'il aimait cette poulette.
Aussitôt, fondant sur l'orgueilleux, un aigle royal l'enleva,
De plein de joie déborda
son rival.
Sortant de son cachot, il put dès lors
Quand il était dehors,
Librement batifoler avec les merveilleuses poules.
Qui jouaient aux boules.

Les deux coqs et l'aigle par Maxime
Deux coqs jaloux se battaient pour une poule célèbre qui à leurs yeux semblait très belle.
Ils allèrent jusqu’à se tuer pour flatter la demoiselle.
L’un eut peur de l’autre, déçu d’avoir perdu, il alla en séduire une autre.
Perché sur un mur, il se mit à chanter comme les autres.
Un aigle l’aperçut, tout heureux de sa cueillette.
Son rival sortant de sa cachette, retourna voir sa poulette.

Les deux coqs et l’aigle par Pierre L.
Deux coqs se battaient pour une poule méchamment.
L’un mit l’ autre en fuite furtivement.
Le vaincu alla se réfugier dans un réduit obsédant.
Le vainqueur s’éleva en l’air et perché en somnolant,
Au sommet d’un mur, se mit à chanter en se moquant.
Aussitôt, fondant sur lui, un aigle sourit et l’engloutit.
Sortant de sa cachette, son ennemi
Put des lors librement batifoler avec les poules éblouies.

Les deux coqs et l’aigle par Pierre S. et Jason
Pour une poule, se battaient en criant méchamment deux coqs de combat.
L’un mit l’autre en fuite et tomba.
Le vaincu alla se réfugier dans un réduit obscur puis chanta devant un rat.
Le vainqueur, en l’air s’éleva ,
Et perché au sommet d’un mur, se mit à chanter à tue-tête devant un chat.
Aussitôt, fondant sur lui, un aigle fonça et l’enleva.
Sortant de sa cachette, son rival vit un boa.
Il put dès lors librement batifoler avec les poules qui picoraient du tabac.

Les deux coqs et l’aigle par Paul
Deux coqs de combat se battaient avec acharnement,
Pour une poule très coquette.
L’un mis l’autre en fuite sans avoir eu le temps
De voir les poulettes.
Le vaincu alla se cacher derrière une brouette.
Le vainqueur sauta en l’air, se percha sur la murette,
Et commença à chanter à tue-tête par dessus les palettes.
Aussitôt un énorme aigle l’emporta dans son nid.
Sortant de sa cachette son ennemi
Put librement batifoler avec les poulettes dans le cagibi.
Bienvenue dans le blog de la classe des CM1-CM2 de l'école Jacques Prévert de Terrasson